Le premier groupe immobilier belge est TRÉVI, un nom qui a gagné en importance ces 40 dernières années, tant et si bien qu’il y a aujourd’hui plus de 35 agences immobilières à porter le nom en lettre blanche sur fond rouge et bleu !
Petite présentation du réseau TRÉVI
Eric Verlinden le patron de TRÉVI a découvert très tôt le virus de l’immobilier, puisqu’il a ouvert sa première agence à 23 ans ! En 1980, il est derrière la co-création du réseau TRÉVI, dont l’agence d’Uccle située dans le quartier de la Bascule à proximité du Bois de la Cambre, fût la première du réseau immobilier partageant son nom avec la célèbre fontaine romaine. Aujourd’hui, plus de 40 ans plus tard, Éric Verlinden est toujours à la tête du Trevi group.
Plus de 5000 biens immobiliers en portefeuilles dont 40 promotions dans l’immobilier neuf, le réseau est actif dans l’immobilier résidentiel bien sûr, tant dans dans la vente qu’en location.
Cependant, il ne s’agit pas du seul secteur d’activité pour le groupe TRÉVI. Ils sont également présents dans l’immobilier d’entreprise, la gestion locative, mais aussi dans l’expertise et la gestion d’immeubles (syndic).
L’association avec « Offices des Propriétaires »
C’est en 2020 que Trevi Group a annoncé un rapprochement avec OP (Offices des propriétaires) dans le but avoué de devenir « le leader sur le marché des services immobiliers, à la fois sur la transaction et la location, la gestion privative et le syndic ».
Les deux marques peuvent se targuer d’une présence affirmée sur l’intégralité du royaume, que ce soit en Flandres, en Wallonie ou dans la Région de Bruxelles-Capitale. Il ne s’agit pas d’une fusion puisque les deux marques préservent leurs noms propres et leur identité. Cependant, le rapprochement entre ces deux leaders dans leurs secteurs respectifs permet aux deux marques de croiser leurs bases de clientèle, aux besoins complémentaires.
Pas d’impact visible pour les clients dès leurs, mais une possibilité pour les deux marques d’évoluer côte à côte, et de faire des économies d’échelle notamment dans la digitalisation et l’exploitation des outils numériques.
L’indice TRÉVI, baromètre de l’évolution des prix
Un élément important de leur notoriété actuelle fut l’introduction en janvier 2005 de « l’indice Trevi ». Cherchant à répondre à la demande du marché d’un indice immobilier résidentiel belge calculé de façon régulière, basé sur des critères clairement identifiables.
L’indice trimestriel se base sur un échantillon de 7500 biens immobiliers mis en vente dans le réseau Trevi, mais également par leurs concurrents et les notaires sur l’ensemble du territoire belge. L’ingrédient de base est le prix d’annonce des biens immobiliers mis en vente le trimestre précédent sa publication, mais le groupe TRÉVI y inclura également les prix vendus définis sur base des actes notariés. Le tout passé à la moulinette d’une formule maison sert à établir un baromètre de l’évolution des prix de l’immobilier résidentiel à travers le royaume.
Numéro un belge de l’immobilier
Il ne faut pas s’y tromper, l’histoire de Trevi au sein du pays est clairement impressionnante. Aucun de ses concurrents locaux n’a pu faire mieux, et jouer des coudes avec les grandes licences américaines ERA et CENTURY 21 qui dominent le marché immobilier. Il ne faut pas voir Trevi comme l’éternel troisième, car il n’en est rien. Les trois réseaux se battent pour le podium depuis leur arrivée dans le pays, et ne sont pas prêts de s’arrêter !
Avec plus de 35 agences immobilières dans le pays à l’heure actuelle et le rapprochement avec OP, TRÉVI Group devrait relever les défis modernes de l’immobilier et assurer une concurrence féroce aux autres grands réseaux immobiliers, tant aux célèbres réseaux déjà bien établis qu’aux nouveaux venus. Vous pouvez d’ailleurs le retrouver dans notre comparatif des réseaux immobiliers publié récemment.